L’air quelque peu intrigué et la complicité naissante sur ce fin visage de la belle et merveilleuse Larissa. Il la revoyait maintenant et se sentait renaître. Le souvenir malsain de toutes ces lugubres années glissait sur sa peau. La joie l’envahissait. Un plaisir doux comme un parfum printanier embaumait ses entours. « Et ils parlent d’argent ! Quand l’amour nous sourit, c’est le bonheur à tour d’horizon ! Rien d’autre ne compte vraiment. Elle m’aime, je l’aime, et le monde est joli !... »