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La missione dell'ECOWAS in Côte d‟Ivoire (ECOMICI) aveva affidato una quota, per assicurare la rigorosa applicazione dell'accordo sulla cessazione delle ostilità osservazione di un'area di l‟occupation e fissando tutto in s‟efforcant a conquistare la fiducia delle parti del conflitto e l'altra mano, d‟instaurer un d‟escorte sistema di umanitario convogli. Articolato intorno ad un generale, comandante della forza, la ECOMICI aveva un personale residente ad Abidjan articolato intorno ad un posto di comando e poche cellule di stato-major327. Altre cellule sono stati l'avanzata proiettata al posto di comando Zambakro. C'era anche il supporto per i distaccamenti di Abidjan e Yamoussoukro; Infine, c'erano cinque suddivisioni nazionali distribuiti sul terreno, più un sottogruppo congiunto (Benin/Togo) nell'azione di riserva e un sotto-gruppo, responsabile per la sicurezza delle forze nouvelles ministri. In totale, la missione era composta da hommes328 1477. Inoltre, le operazioni ECOMICI erano di due tipi. Da un lato, le attività programmate sono state effettuate nell'ambito della sicurezza delle popolazioni, pur garantendo la libera circolazione di merci e persone. E ' suo d‟organiser di pattuglie a livello di ogni settore e consentono di contrassegnare una presenza della forza su tutti i teatri di d‟operation. Ha il suo sicuro anche luoghi di interesse comune come strade, mercati con posti di blocco sulle strade principali. Altra mano, c'erano le attività su richiesta effettuata in preparazione per la ridistribuzione della gestione, valutazione dei danni di guerra, organizzazione ribelle degli esami nella zona. Ma qual è la percezione delle popolazioni ivoriane della missione ECOWAS? Secondo un giornalista di un quotidiano considerato vicino il Rassemblement des Républicains (RDR) d‟Alassane Ouattara:« Au début, l‟intervention de la CEDEAO était bonne mais très vite elle est dépassée par les conflits d‟intérêts et de personnes de ses membres (Wade, Éyadema…). Aussi, le président en exercice à l‟époque, le Ghanéen John Kufor est déconnecté des réalités francophones. Mais malgré tout la CEDEAO a réussi à obtenir le premier cessez-le-feu. Seulement, c‟est avec la médiation de Blaise Compaoré qui connaît mieux la situation des acteurs que le processus a vraiment avancé »329. Pour un autre journaliste d‟un quotidien jugé proche du Front Populaire Ivoirien (FPI), la CEDEAO a obtenu un cessez-le-feu, mais elle s‟est auto-dessaisie du dossier ivoirien et s‟est mise au service des agendas extérieurs330. Pour ce travailleur d‟une organisation ivoirienne des droits de l‟homme aussi, c‟est le même son de cloche. La CEDEAO a obtenu un cessez-le-feu mais a été dessaisie du dossier par la France. Finalement, c‟est le dialogue direct qui fera le reste331. En revanche, un universitaire ivoirien a une lecture différente de la présence de la CEDEAO et souligne : « Qu‟en Côte d‟Ivoire, la CEDEAO n‟avait ni matériels, ni logistiques, ni argent, les responsables à Abuja étaient injoignables, notre pays a loué des maisons pour l‟hébergement et à la CEDEAO de payer plus tard. La CEDEAO comme toutes les autres institutions régionales africaines sont le reflet de ses États membres qui sont incapables de gérer la diversité. Ces fonctionnaires ne sont pas prêts à lâcher l‟État. L‟institution leur permet de garder leur statut et leurs privilèges. La CEDEAO tient un double discours auxquels elle-même ne croit pas. Ils font croire qu‟ils décident or ils ne le font pas. Leur façon d‟être (costumes cravates) renseigne sur leur état d‟esprit »332. Ces quelques témoignages montrent que la CEDEAO est loin de faire l‟unanimité autour de sa mission en Côte d‟Ivoire. Seulement contrairement en Sierra Leone, les soldats de la CEDEAO ne se sont pas livrés cette fois-ci à des trafics. Ce qui engagerait en partie la responsabilité de l‟organisation et entamerait sa crédibilité vis-à-vis de l‟opinion.
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