Tout effort de précision portant sur l'étendue du droit de direction et de contrôle de l'État du pavillon sur le navire a échoué. Un problème se pose : quelle est la position du droit international vis-à-vis des dispositions et actes octroyant une nationalité à un navire au mépris de l'existence de ce lien substantiel mentionné dans les dispositions des conventions de Genève et de 1982.