A cet égard, il peut être également intéressant de préciser la position émise par la France durant la même réunion du Conseil de Sécurité, selon laquelle « l'action nécessaire contre le terrorisme ne saurait légitimer des violations des règles du droit international. D'une façon plus générale on ne peut s'empêcher de souligner que l'attitude des Etats-Unis, outre qu'elle répondait dans l'affaire de Y Achille Lauro à des préoccupationdes politique intérieure, correspondait à une volonté affichée de punir le terrorisme en s'érigeant en gendarme de la communauté internationale. Par cela, cette action augure peut-être de ce que sera le droit futur.